Cheveux ras, gros bras, les militants d’Aube Hongroise, dont leur chef, Andras Kisrgegely (à droite), adoptent le même look que les autres ultras européens [MTI, Marjai János].
Il y avait le Jobbik, ses diatribes anti-homos, antisémites et anti-tsiganes. Aube Hongroise, groupuscule à la rhétorique viriliste fondé fin-octobre, veut fédérer les allergiques à la « dédiabolisation » entamée par les nationalistes traditionnels. Lire la suite →